Santiago était notre dernier stop avant le retour de Léo. On en a quand même bien profité en grimpant sur le Cerro Santa Lucia (avec un ancien fort espagnol) et le Cerro San Cristobal (avec la vierge et des chants chretien) pour constater que Santiago s’etend À perte de vu. Après un petit échec de réservation d’hotel dans un quartier craignos on a finalement changé pour atterrir dans Bellavista, le quartier de la fête, des graffs et de la boisson locale : le Terremoto (tremblement de terre). Boisson très sucrée, très alcolisée et surmontée d’une glace à l’ananas...ecoeurant. La légende dit que si tu en prends un 2ème c’est la réplique et un troisième le tsunami. En général personne n’en prend 3 (ils servent ce cocktail en pinte!)

on a également appris/reappris comment c’était passé le coup d’etat, la mort d’Allende et les années Pinochet en allant au super musée de la memoire et des droits de l’homme avec notre copine Manu, rencontrée la premiere fois en Bolivie, recroisée par hasard au Pérou puis revue à Valpo. Après une dernière soirée ensemble et un dernier pisco sour Léo a regagné la France et ses bons vins et j’ai poursuivie deux jours de plus à Santiago. Découverte d’autres quartiers et je me suis accordée un petit ciné, en français! Et un resto avec Manu. Me voilà maintenant à bariloche en argentine